comme un air d’Edward Hopper

Laurence Chellali

“Ce qui m’a fasciné, c’est le calme sidérant qui régnait.
Pas un brin de vent, une mer d’huile comme rarement on en voit,
et la brume matinale qui faisait disparaître l’horizon laissait une impression d’espace infini
car il était impossible de distinguer la mer du ciel. Ponctué de quelques promeneurs
et parfois de pêcheurs, le paysage m’a fait penser aux toiles d’Edward Hopper.”

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